Les fleurs du mal, choix de poèmes... / Baudelaire, Charles (1821-1867). Auteur

Livre

Baudelaire, Charles (1821-1867). Auteur

Edité par Hachette éducation. Paris - 1992

Je suis de mon cur le vampire, - Un de ces grands abandonnés. - Au rire ne peuvent plus sourire !

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Note
  • Bibliogr., 1 p. Index
Langue
français
Description physique
285 p. ; ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm ; dossier du professeur, 95 p.
Genre
Collection
Classiques Hachette
Contributeurs
Natali, André. Éditeur scientifique
Popularité
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Biographie

Charles Baudelaire, né le 9 avril 1821 à Paris et mort dans la même ville le 31 août 1867, est un poète français. Dante d'une époque déchue selon les mots de Barbey d'Aurevilly, tourné vers le classicisme, nourri de romantisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal, mais aussi pour sa poésie en prose, réunie dans Le Spleen de Paris. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité, et laisse le souvenir d'un poète déchiré entre le Ciel et la Terre, entre l'Idéal et la fange, cherchant à faire du Mal un objet de contemplation esthétique (« Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or »). Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l'idéal inaccessible (À une Passante), la violence et la volupté (Une martyre), mais aussi entre le poète et son lecteur (Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère) et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme. Il est aussi un grand critique d'art, avec ses fameux Salons, où il prendra la défense de Delacroix, un théoricien du dandysme et un défenseur de la musique de Wagner, et imprimera définitivement sa marque dans la poésie française.